La modernisation de Constantine: le workshop ? better late than never........
Le dernier post était un rappel...
Pour ceux qui ne saisissent pas l'opportunité, il est destiné à rappeler que nous ne manquons pas d'idées quand il s'agit de produire des réflexions pour le développement de la ville de Constantine. Ceci dit, disons sans prétentions que nous nous ne targuons jamais d'être les lumières "invisibles" de la ville. Nous sommes dans le cadre scientifique dans les derniers rangs, tant les personnes qui nous ont appris à "voir" et à observer sont toujours vivantes. (Nous ne pouvons les devancer même si nous le voulons...Mesdames et messieur votre élève vous remercie....).
Revenons au dernier post: je l'ai laissé tel que je l'ai reflechi et rédigé à l'origine (avec ses maladresses et ses imprfections) dans le but de dire que la "spontanéité" de la réflexion ne peut s'accomplir que par rapport un recul qui appelle l'interrogation de la mémoire, l'écoute patiente, à vivre la ville dans ses entrailles et la "jonction" des synthèses finement élaborées.
L'actualité urbanistique constantinoise semble décélérer. Après les grandes concepts fortement imagés (rendus, 3 D), les autorités urbanistiques revoient leur copie. Il n'est plus question de "little Dubai", en tout cas. Mais faut-il faire appel à quelques experts dans un workshop pour s'entendre dire que la copie élaborée n'est qu'un amas de fantasmagories élaboré par une littérature empruntant ses mots au langage architectural et urbanistique?
Toujours est-il, ce workshop est l'aveu de beaucoup d'erreurs méthodologiques. Car il y a lieu de constater qu'en finalisant l'image de la métropole tant attendue, l'opération qui devra succèder, sera la mise en route du projet.... D'autant plus que des opérations de "délocalisation" humaine et matérielle avaient été accomplies dans la douleur et occasionnées beaucoup de dépenses...
Cependant ce workshop est venu pour réfléchir sur les modes d'interventions et sur la faisabilité des projets. (du moins c'est ce qui ressort à travers les quotidiens). C'est mettre la charrue avant les boeufs....
Maintenant si les organisateurs se sont pliés pour rechercher une "légitimité" à leurs fantasmagories, il y a lieu de constater que le doute s'est installé...Car, tant d'autorité, tant de moyens, tant d'indispositions envers les habitants et tant de pubs pour ensuite reculer c'est qu'il y a une véritable hésitation.
Donc, pourquoi pas en débattre sincèrement et sereinement, en rangeant dans un placard (du moins pour quelques temps) les ambitions personnelles et les titres (à commencer par consultant).
Dans consultant , il y a une racine: "sultan".....çà résume tout.
Sérieusement: it's better late than ever...............
Pour ceux qui ne saisissent pas l'opportunité, il est destiné à rappeler que nous ne manquons pas d'idées quand il s'agit de produire des réflexions pour le développement de la ville de Constantine. Ceci dit, disons sans prétentions que nous nous ne targuons jamais d'être les lumières "invisibles" de la ville. Nous sommes dans le cadre scientifique dans les derniers rangs, tant les personnes qui nous ont appris à "voir" et à observer sont toujours vivantes. (Nous ne pouvons les devancer même si nous le voulons...Mesdames et messieur votre élève vous remercie....).
Revenons au dernier post: je l'ai laissé tel que je l'ai reflechi et rédigé à l'origine (avec ses maladresses et ses imprfections) dans le but de dire que la "spontanéité" de la réflexion ne peut s'accomplir que par rapport un recul qui appelle l'interrogation de la mémoire, l'écoute patiente, à vivre la ville dans ses entrailles et la "jonction" des synthèses finement élaborées.
L'actualité urbanistique constantinoise semble décélérer. Après les grandes concepts fortement imagés (rendus, 3 D), les autorités urbanistiques revoient leur copie. Il n'est plus question de "little Dubai", en tout cas. Mais faut-il faire appel à quelques experts dans un workshop pour s'entendre dire que la copie élaborée n'est qu'un amas de fantasmagories élaboré par une littérature empruntant ses mots au langage architectural et urbanistique?
Toujours est-il, ce workshop est l'aveu de beaucoup d'erreurs méthodologiques. Car il y a lieu de constater qu'en finalisant l'image de la métropole tant attendue, l'opération qui devra succèder, sera la mise en route du projet.... D'autant plus que des opérations de "délocalisation" humaine et matérielle avaient été accomplies dans la douleur et occasionnées beaucoup de dépenses...
Cependant ce workshop est venu pour réfléchir sur les modes d'interventions et sur la faisabilité des projets. (du moins c'est ce qui ressort à travers les quotidiens). C'est mettre la charrue avant les boeufs....
Maintenant si les organisateurs se sont pliés pour rechercher une "légitimité" à leurs fantasmagories, il y a lieu de constater que le doute s'est installé...Car, tant d'autorité, tant de moyens, tant d'indispositions envers les habitants et tant de pubs pour ensuite reculer c'est qu'il y a une véritable hésitation.
Donc, pourquoi pas en débattre sincèrement et sereinement, en rangeant dans un placard (du moins pour quelques temps) les ambitions personnelles et les titres (à commencer par consultant).
Dans consultant , il y a une racine: "sultan".....çà résume tout.
Sérieusement: it's better late than ever...............